Soin Sonore
Les Vibrations de la Harpe sur votre corps et votre esprit

Nathalie Henriet
11 juin 2025
Lecture 4 mn



Dans cet article, nous explorons comment les vibrations aériennes de la harpe agissent sur l’ensemble de l’organisme et du psychisme, en combinant relaxation physique, équilibre émotionnel, apaisement mental et expansion de la conscience.
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Introduction
La harpe, instrument millénaire aux sonorités délicates, joue un rôle majeur en thérapie sonore. Concrètement, lors d’une séance type, on pourra observer :
la réduction du taux de cortisol de 25 % en 20 minutes de jeu doux ;
une amélioration de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) de 30 %, gage d’un meilleur équilibre autonome ;
un retour plus rapide à un état alpha-thêta chez 80 % des participants après une seule session.
Ces exemples illustrent comment, grâce à l’eau corporelle (très conductrice des ondes sonores) et à la structure osseuse (qui agit comme caisse de résonance), les vibrations de la harpe se diffusent dans tout l’organisme, influençant à la fois la biologie et la psychologie.
1) Effets somatiques : relaxation et réharmonisation organique
Les vibrations « aériennes » de la harpe se propagent au sein de l’organisme grâce à la conductivité des liquides (sang, lymphe) et à la structure osseuse qui fait office de caisse de résonance.
Relaxation musculaire profonde
Les ondes acoustiques de faible amplitude induisent une relaxation réflexe des fibres musculaires via la stimulation des mécanorécepteurs.
Cette détente se traduit par une diminution des tensions posturales et une plus grande souplesse articulaire, perceptible dès les premières minutes de jeu.
Réharmonisation des fréquences organiques
Chaque organe et chaque système tissulaire possède une fréquence propre de résonance. Les notes jouées sur la harpe, selon leur hauteur, peuvent s’accorder à ces fréquences endogènes et les rétablir lorsque le déséquilibre est avéré.
Cette synchronisation vibratoire améliore la circulation sanguine et lymphatique, optimise les échanges cellulaires et participe à l’homéostasie globale.
Effet « aérien » et fluidification tissulaire
Le toucher léger et le jeu « aérien » accentuent la sensation d’apesanteur corporelle, favorisant la décontraction des fascias et la libération des micro-adhérences entre les tissus.
Le résultat est une impression généralisée de légèreté et de fluidité, complémentaire à la relaxation musculaire et à la réharmonisation des résonances.
2) Impacts émotionnels : régulation neuro‑hormonale vulgarisée
La harpe agit en douceur sur l’axe hypothalamo‑hypophyso‑surrénalien, responsable de la gestion du stress. Concrètement :
Baisse du cortisol : l’écoute d’arpèges apaisants peut diminuer significativement le taux de cortisol, favorisant une sensation immédiate de tranquillité.-
Stimulation des endorphines : les progressions harmoniques et les cadences régulières encouragent la sécrétion d’endorphines, responsables de la diminution de la douleur et de l’amélioration de l’humeur.
Activation de la sérotonine : certaines fréquences médium‑graves (200–400 Hz) sont particulièrement efficaces pour renforcer la production de sérotonine, contribuant à un état de bien-être durable.
Le ressenti principal pour le bénéficiaire est une apaisement intérieur, avec une diminution notable de l’anxiété et une sensation de sécurité psychique.
3) Plan mental : induction d’un état « hypnotique » doux
La harpe crée un environnement sonore propice à la détente cognitive grâce à :
Répétition rythmique : des motifs répétitifs et réguliers, à un tempo compris entre 60 et 80 BPM, favorisent l’apparition d’ondes alpha (8–12 Hz), associées à un état de vigilance détendue et de créativité.
Patterns harmoniques et mélodiques : les successions d’accords et les motifs mélodiques récurrents entraînent une focalisation attentionnelle, comparable à une « transe douce », où les pensées parasites s’estompent naturellement.
Transition progressive : le passage de motifs simples vers des textures plus complexes guide l’esprit vers des ondes thêta (4–8 Hz), propices à l’introspection et à l’imaginaire.
Ainsi, sans recourir à l’hypnose formelle, l’auditeur se trouve progressivement immergé dans un état de concentration diffuse, facilitant la détente mentale et la créativité.
4) Dimension existentielle : expansion de la conscience
Au‑delà de la relaxation, la harpe peut provoquer un sentiment d’expansion de la conscience :
Sentiment d’unité : la richesse harmonique et la douceur des sonorités génèrent une impression de fusion entre l’écouteur et l’environnement sonore.
Réduction de l’activité de l’amygdale : cette modulation réduit la peur et l’anticipation anxieuse, ouvrant la porte à une expérience de calme profond.
Cohérence cardiaque élevée : synchronisation optimale entre battements cardiaques et respiration, responsable de la sensation d’« émergence » vers un état de présence accrue.
Cette expérience, vécue comme un élargissement du champ de conscience, permet un recul sur les préoccupations quotidiennes et invite à une meilleure connaissance de soi.
5) Harpe‑thérapie : écoute, résonance et improvisation
Le harpiste doit d’abord se mettre à l’écoute active du patient, percevant ses réactions physiques, émotionnelles et existentielles. Grâce à cette empathie vibratoire, il ajuste en temps réel :
Fréquences et hauteurs : pour toucher les résonances organiques ou émotionnelles spécifiques.
Tempos variés : parfois très lents pour induire un état de relaxation profonde, parfois plus rapides pour stimuler l’énergie vitale.
Modes et échelles : en plus du majeur et mineur, on utilise des pentatoniques, modaux (dorien, mixolydien, lydien…), chacune véhiculant une couleur émotionnelle distincte.
Structures harmoniques et intervalles : des intervalles serrés (seconde mineure) pour créer une tension contrôlée, des intervalles plus larges (sixte majeure) pour favoriser la détente.
Improvisation : le harpiste adopte une attention inclusive permanente, percevant et intégrant en continu les réactions physiques, émotionnelles et existentielles du patient pour moduler immédiatement son toucher, l’intensité et la densité harmonique.
Ainsi, chaque séance devient un dialogue musical unique, où l’improvisation ciblée répond précisément aux besoins physiques, émotionnels et existentiels de la personne.
Conclusion
En harpe-thérapie, chaque vibration devient un outil précis pour réguler le corps et l’esprit. De la conduction osseuse à la modulation des ondes cérébrales, en passant par l’équilibre émotionnel et l’expérience de transcendance, la harpe offre une palette de techniques adaptables à chaque besoin.
Introduction
La harpe, instrument millénaire aux sonorités délicates, joue un rôle majeur en thérapie sonore. Concrètement, lors d’une séance type, on pourra observer :
la réduction du taux de cortisol de 25 % en 20 minutes de jeu doux ;
une amélioration de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) de 30 %, gage d’un meilleur équilibre autonome ;
un retour plus rapide à un état alpha-thêta chez 80 % des participants après une seule session.
Ces exemples illustrent comment, grâce à l’eau corporelle (très conductrice des ondes sonores) et à la structure osseuse (qui agit comme caisse de résonance), les vibrations de la harpe se diffusent dans tout l’organisme, influençant à la fois la biologie et la psychologie.
1) Effets somatiques : relaxation et réharmonisation organique
Les vibrations « aériennes » de la harpe se propagent au sein de l’organisme grâce à la conductivité des liquides (sang, lymphe) et à la structure osseuse qui fait office de caisse de résonance.
Relaxation musculaire profonde
Les ondes acoustiques de faible amplitude induisent une relaxation réflexe des fibres musculaires via la stimulation des mécanorécepteurs.
Cette détente se traduit par une diminution des tensions posturales et une plus grande souplesse articulaire, perceptible dès les premières minutes de jeu.
Réharmonisation des fréquences organiques
Chaque organe et chaque système tissulaire possède une fréquence propre de résonance. Les notes jouées sur la harpe, selon leur hauteur, peuvent s’accorder à ces fréquences endogènes et les rétablir lorsque le déséquilibre est avéré.
Cette synchronisation vibratoire améliore la circulation sanguine et lymphatique, optimise les échanges cellulaires et participe à l’homéostasie globale.
Effet « aérien » et fluidification tissulaire
Le toucher léger et le jeu « aérien » accentuent la sensation d’apesanteur corporelle, favorisant la décontraction des fascias et la libération des micro-adhérences entre les tissus.
Le résultat est une impression généralisée de légèreté et de fluidité, complémentaire à la relaxation musculaire et à la réharmonisation des résonances.
2) Impacts émotionnels : régulation neuro‑hormonale vulgarisée
La harpe agit en douceur sur l’axe hypothalamo‑hypophyso‑surrénalien, responsable de la gestion du stress. Concrètement :
Baisse du cortisol : l’écoute d’arpèges apaisants peut diminuer significativement le taux de cortisol, favorisant une sensation immédiate de tranquillité.-
Stimulation des endorphines : les progressions harmoniques et les cadences régulières encouragent la sécrétion d’endorphines, responsables de la diminution de la douleur et de l’amélioration de l’humeur.
Activation de la sérotonine : certaines fréquences médium‑graves (200–400 Hz) sont particulièrement efficaces pour renforcer la production de sérotonine, contribuant à un état de bien-être durable.
Le ressenti principal pour le bénéficiaire est une apaisement intérieur, avec une diminution notable de l’anxiété et une sensation de sécurité psychique.
3) Plan mental : induction d’un état « hypnotique » doux
La harpe crée un environnement sonore propice à la détente cognitive grâce à :
Répétition rythmique : des motifs répétitifs et réguliers, à un tempo compris entre 60 et 80 BPM, favorisent l’apparition d’ondes alpha (8–12 Hz), associées à un état de vigilance détendue et de créativité.
Patterns harmoniques et mélodiques : les successions d’accords et les motifs mélodiques récurrents entraînent une focalisation attentionnelle, comparable à une « transe douce », où les pensées parasites s’estompent naturellement.
Transition progressive : le passage de motifs simples vers des textures plus complexes guide l’esprit vers des ondes thêta (4–8 Hz), propices à l’introspection et à l’imaginaire.
Ainsi, sans recourir à l’hypnose formelle, l’auditeur se trouve progressivement immergé dans un état de concentration diffuse, facilitant la détente mentale et la créativité.
4) Dimension existentielle : expansion de la conscience
Au‑delà de la relaxation, la harpe peut provoquer un sentiment d’expansion de la conscience :
Sentiment d’unité : la richesse harmonique et la douceur des sonorités génèrent une impression de fusion entre l’écouteur et l’environnement sonore.
Réduction de l’activité de l’amygdale : cette modulation réduit la peur et l’anticipation anxieuse, ouvrant la porte à une expérience de calme profond.
Cohérence cardiaque élevée : synchronisation optimale entre battements cardiaques et respiration, responsable de la sensation d’« émergence » vers un état de présence accrue.
Cette expérience, vécue comme un élargissement du champ de conscience, permet un recul sur les préoccupations quotidiennes et invite à une meilleure connaissance de soi.
5) Harpe‑thérapie : écoute, résonance et improvisation
Le harpiste doit d’abord se mettre à l’écoute active du patient, percevant ses réactions physiques, émotionnelles et existentielles. Grâce à cette empathie vibratoire, il ajuste en temps réel :
Fréquences et hauteurs : pour toucher les résonances organiques ou émotionnelles spécifiques.
Tempos variés : parfois très lents pour induire un état de relaxation profonde, parfois plus rapides pour stimuler l’énergie vitale.
Modes et échelles : en plus du majeur et mineur, on utilise des pentatoniques, modaux (dorien, mixolydien, lydien…), chacune véhiculant une couleur émotionnelle distincte.
Structures harmoniques et intervalles : des intervalles serrés (seconde mineure) pour créer une tension contrôlée, des intervalles plus larges (sixte majeure) pour favoriser la détente.
Improvisation : le harpiste adopte une attention inclusive permanente, percevant et intégrant en continu les réactions physiques, émotionnelles et existentielles du patient pour moduler immédiatement son toucher, l’intensité et la densité harmonique.
Ainsi, chaque séance devient un dialogue musical unique, où l’improvisation ciblée répond précisément aux besoins physiques, émotionnels et existentiels de la personne.
Conclusion
En harpe-thérapie, chaque vibration devient un outil précis pour réguler le corps et l’esprit. De la conduction osseuse à la modulation des ondes cérébrales, en passant par l’équilibre émotionnel et l’expérience de transcendance, la harpe offre une palette de techniques adaptables à chaque besoin.
Introduction
La harpe, instrument millénaire aux sonorités délicates, joue un rôle majeur en thérapie sonore. Concrètement, lors d’une séance type, on pourra observer :
la réduction du taux de cortisol de 25 % en 20 minutes de jeu doux ;
une amélioration de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) de 30 %, gage d’un meilleur équilibre autonome ;
un retour plus rapide à un état alpha-thêta chez 80 % des participants après une seule session.
Ces exemples illustrent comment, grâce à l’eau corporelle (très conductrice des ondes sonores) et à la structure osseuse (qui agit comme caisse de résonance), les vibrations de la harpe se diffusent dans tout l’organisme, influençant à la fois la biologie et la psychologie.
1) Effets somatiques : relaxation et réharmonisation organique
Les vibrations « aériennes » de la harpe se propagent au sein de l’organisme grâce à la conductivité des liquides (sang, lymphe) et à la structure osseuse qui fait office de caisse de résonance.
Relaxation musculaire profonde
Les ondes acoustiques de faible amplitude induisent une relaxation réflexe des fibres musculaires via la stimulation des mécanorécepteurs.
Cette détente se traduit par une diminution des tensions posturales et une plus grande souplesse articulaire, perceptible dès les premières minutes de jeu.
Réharmonisation des fréquences organiques
Chaque organe et chaque système tissulaire possède une fréquence propre de résonance. Les notes jouées sur la harpe, selon leur hauteur, peuvent s’accorder à ces fréquences endogènes et les rétablir lorsque le déséquilibre est avéré.
Cette synchronisation vibratoire améliore la circulation sanguine et lymphatique, optimise les échanges cellulaires et participe à l’homéostasie globale.
Effet « aérien » et fluidification tissulaire
Le toucher léger et le jeu « aérien » accentuent la sensation d’apesanteur corporelle, favorisant la décontraction des fascias et la libération des micro-adhérences entre les tissus.
Le résultat est une impression généralisée de légèreté et de fluidité, complémentaire à la relaxation musculaire et à la réharmonisation des résonances.
2) Impacts émotionnels : régulation neuro‑hormonale vulgarisée
La harpe agit en douceur sur l’axe hypothalamo‑hypophyso‑surrénalien, responsable de la gestion du stress. Concrètement :
Baisse du cortisol : l’écoute d’arpèges apaisants peut diminuer significativement le taux de cortisol, favorisant une sensation immédiate de tranquillité.-
Stimulation des endorphines : les progressions harmoniques et les cadences régulières encouragent la sécrétion d’endorphines, responsables de la diminution de la douleur et de l’amélioration de l’humeur.
Activation de la sérotonine : certaines fréquences médium‑graves (200–400 Hz) sont particulièrement efficaces pour renforcer la production de sérotonine, contribuant à un état de bien-être durable.
Le ressenti principal pour le bénéficiaire est une apaisement intérieur, avec une diminution notable de l’anxiété et une sensation de sécurité psychique.
3) Plan mental : induction d’un état « hypnotique » doux
La harpe crée un environnement sonore propice à la détente cognitive grâce à :
Répétition rythmique : des motifs répétitifs et réguliers, à un tempo compris entre 60 et 80 BPM, favorisent l’apparition d’ondes alpha (8–12 Hz), associées à un état de vigilance détendue et de créativité.
Patterns harmoniques et mélodiques : les successions d’accords et les motifs mélodiques récurrents entraînent une focalisation attentionnelle, comparable à une « transe douce », où les pensées parasites s’estompent naturellement.
Transition progressive : le passage de motifs simples vers des textures plus complexes guide l’esprit vers des ondes thêta (4–8 Hz), propices à l’introspection et à l’imaginaire.
Ainsi, sans recourir à l’hypnose formelle, l’auditeur se trouve progressivement immergé dans un état de concentration diffuse, facilitant la détente mentale et la créativité.
4) Dimension existentielle : expansion de la conscience
Au‑delà de la relaxation, la harpe peut provoquer un sentiment d’expansion de la conscience :
Sentiment d’unité : la richesse harmonique et la douceur des sonorités génèrent une impression de fusion entre l’écouteur et l’environnement sonore.
Réduction de l’activité de l’amygdale : cette modulation réduit la peur et l’anticipation anxieuse, ouvrant la porte à une expérience de calme profond.
Cohérence cardiaque élevée : synchronisation optimale entre battements cardiaques et respiration, responsable de la sensation d’« émergence » vers un état de présence accrue.
Cette expérience, vécue comme un élargissement du champ de conscience, permet un recul sur les préoccupations quotidiennes et invite à une meilleure connaissance de soi.
5) Harpe‑thérapie : écoute, résonance et improvisation
Le harpiste doit d’abord se mettre à l’écoute active du patient, percevant ses réactions physiques, émotionnelles et existentielles. Grâce à cette empathie vibratoire, il ajuste en temps réel :
Fréquences et hauteurs : pour toucher les résonances organiques ou émotionnelles spécifiques.
Tempos variés : parfois très lents pour induire un état de relaxation profonde, parfois plus rapides pour stimuler l’énergie vitale.
Modes et échelles : en plus du majeur et mineur, on utilise des pentatoniques, modaux (dorien, mixolydien, lydien…), chacune véhiculant une couleur émotionnelle distincte.
Structures harmoniques et intervalles : des intervalles serrés (seconde mineure) pour créer une tension contrôlée, des intervalles plus larges (sixte majeure) pour favoriser la détente.
Improvisation : le harpiste adopte une attention inclusive permanente, percevant et intégrant en continu les réactions physiques, émotionnelles et existentielles du patient pour moduler immédiatement son toucher, l’intensité et la densité harmonique.
Ainsi, chaque séance devient un dialogue musical unique, où l’improvisation ciblée répond précisément aux besoins physiques, émotionnels et existentiels de la personne.
Conclusion
En harpe-thérapie, chaque vibration devient un outil précis pour réguler le corps et l’esprit. De la conduction osseuse à la modulation des ondes cérébrales, en passant par l’équilibre émotionnel et l’expérience de transcendance, la harpe offre une palette de techniques adaptables à chaque besoin.
Introduction
La harpe, instrument millénaire aux sonorités délicates, joue un rôle majeur en thérapie sonore. Concrètement, lors d’une séance type, on pourra observer :
la réduction du taux de cortisol de 25 % en 20 minutes de jeu doux ;
une amélioration de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) de 30 %, gage d’un meilleur équilibre autonome ;
un retour plus rapide à un état alpha-thêta chez 80 % des participants après une seule session.
Ces exemples illustrent comment, grâce à l’eau corporelle (très conductrice des ondes sonores) et à la structure osseuse (qui agit comme caisse de résonance), les vibrations de la harpe se diffusent dans tout l’organisme, influençant à la fois la biologie et la psychologie.
1) Effets somatiques : relaxation et réharmonisation organique
Les vibrations « aériennes » de la harpe se propagent au sein de l’organisme grâce à la conductivité des liquides (sang, lymphe) et à la structure osseuse qui fait office de caisse de résonance.
Relaxation musculaire profonde
Les ondes acoustiques de faible amplitude induisent une relaxation réflexe des fibres musculaires via la stimulation des mécanorécepteurs.
Cette détente se traduit par une diminution des tensions posturales et une plus grande souplesse articulaire, perceptible dès les premières minutes de jeu.
Réharmonisation des fréquences organiques
Chaque organe et chaque système tissulaire possède une fréquence propre de résonance. Les notes jouées sur la harpe, selon leur hauteur, peuvent s’accorder à ces fréquences endogènes et les rétablir lorsque le déséquilibre est avéré.
Cette synchronisation vibratoire améliore la circulation sanguine et lymphatique, optimise les échanges cellulaires et participe à l’homéostasie globale.
Effet « aérien » et fluidification tissulaire
Le toucher léger et le jeu « aérien » accentuent la sensation d’apesanteur corporelle, favorisant la décontraction des fascias et la libération des micro-adhérences entre les tissus.
Le résultat est une impression généralisée de légèreté et de fluidité, complémentaire à la relaxation musculaire et à la réharmonisation des résonances.
2) Impacts émotionnels : régulation neuro‑hormonale vulgarisée
La harpe agit en douceur sur l’axe hypothalamo‑hypophyso‑surrénalien, responsable de la gestion du stress. Concrètement :
Baisse du cortisol : l’écoute d’arpèges apaisants peut diminuer significativement le taux de cortisol, favorisant une sensation immédiate de tranquillité.-
Stimulation des endorphines : les progressions harmoniques et les cadences régulières encouragent la sécrétion d’endorphines, responsables de la diminution de la douleur et de l’amélioration de l’humeur.
Activation de la sérotonine : certaines fréquences médium‑graves (200–400 Hz) sont particulièrement efficaces pour renforcer la production de sérotonine, contribuant à un état de bien-être durable.
Le ressenti principal pour le bénéficiaire est une apaisement intérieur, avec une diminution notable de l’anxiété et une sensation de sécurité psychique.
3) Plan mental : induction d’un état « hypnotique » doux
La harpe crée un environnement sonore propice à la détente cognitive grâce à :
Répétition rythmique : des motifs répétitifs et réguliers, à un tempo compris entre 60 et 80 BPM, favorisent l’apparition d’ondes alpha (8–12 Hz), associées à un état de vigilance détendue et de créativité.
Patterns harmoniques et mélodiques : les successions d’accords et les motifs mélodiques récurrents entraînent une focalisation attentionnelle, comparable à une « transe douce », où les pensées parasites s’estompent naturellement.
Transition progressive : le passage de motifs simples vers des textures plus complexes guide l’esprit vers des ondes thêta (4–8 Hz), propices à l’introspection et à l’imaginaire.
Ainsi, sans recourir à l’hypnose formelle, l’auditeur se trouve progressivement immergé dans un état de concentration diffuse, facilitant la détente mentale et la créativité.
4) Dimension existentielle : expansion de la conscience
Au‑delà de la relaxation, la harpe peut provoquer un sentiment d’expansion de la conscience :
Sentiment d’unité : la richesse harmonique et la douceur des sonorités génèrent une impression de fusion entre l’écouteur et l’environnement sonore.
Réduction de l’activité de l’amygdale : cette modulation réduit la peur et l’anticipation anxieuse, ouvrant la porte à une expérience de calme profond.
Cohérence cardiaque élevée : synchronisation optimale entre battements cardiaques et respiration, responsable de la sensation d’« émergence » vers un état de présence accrue.
Cette expérience, vécue comme un élargissement du champ de conscience, permet un recul sur les préoccupations quotidiennes et invite à une meilleure connaissance de soi.
5) Harpe‑thérapie : écoute, résonance et improvisation
Le harpiste doit d’abord se mettre à l’écoute active du patient, percevant ses réactions physiques, émotionnelles et existentielles. Grâce à cette empathie vibratoire, il ajuste en temps réel :
Fréquences et hauteurs : pour toucher les résonances organiques ou émotionnelles spécifiques.
Tempos variés : parfois très lents pour induire un état de relaxation profonde, parfois plus rapides pour stimuler l’énergie vitale.
Modes et échelles : en plus du majeur et mineur, on utilise des pentatoniques, modaux (dorien, mixolydien, lydien…), chacune véhiculant une couleur émotionnelle distincte.
Structures harmoniques et intervalles : des intervalles serrés (seconde mineure) pour créer une tension contrôlée, des intervalles plus larges (sixte majeure) pour favoriser la détente.
Improvisation : le harpiste adopte une attention inclusive permanente, percevant et intégrant en continu les réactions physiques, émotionnelles et existentielles du patient pour moduler immédiatement son toucher, l’intensité et la densité harmonique.
Ainsi, chaque séance devient un dialogue musical unique, où l’improvisation ciblée répond précisément aux besoins physiques, émotionnels et existentiels de la personne.
Conclusion
En harpe-thérapie, chaque vibration devient un outil précis pour réguler le corps et l’esprit. De la conduction osseuse à la modulation des ondes cérébrales, en passant par l’équilibre émotionnel et l’expérience de transcendance, la harpe offre une palette de techniques adaptables à chaque besoin.
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